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Il était une fois... la princesse Bouton d'or (The Princess Bride)

É.-U. 1987. Comédie fantaisiste de Rob Reiner avec Robin Wright, Cary Elwes, Mandy Patinkin. Un grand-père raconte à son petit-fils malade l'histoire d'une princesse qui est délivrée des griffes d'un prince infâme par son chevalier bien-aimé. Enchaînement de péripéties un peu laborieux. Une certaine verve. Mise en scène habile. Interprétation vive et colorée. (sortie en salle: 21 novembre 2007)

Général
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Il était une fois... la princesse Bouton d'or (The Princess Bride)

Général Général

É.-U. 1987. Comédie fantaisiste de Rob Reiner avec Robin Wright, Cary Elwes, Mandy Patinkin.

Un grand-père raconte à son petit-fils malade l'histoire d'une princesse qui est délivrée des griffes d'un prince infâme par son chevalier bien-aimé. Enchaînement de péripéties un peu laborieux. Une certaine verve. Mise en scène habile. Interprétation vive et colorée. (sortie en salle: 21 novembre 2007)

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Astral
Un grand-père, en visite chez son petit-fils malade, tient à lui faire la lecture d'un conte merveilleux. D'abord réticent, le garçon se laisse vite captiver par les aventures de la belle Buttercup. Celle-ci accepte d'épouser le prince Humperdinck, un intrigant sans vergogne, lorsqu'elle croit que Westley, son aimé, est mort. Cependant, Buttercup est enlevée par trois filous et sauvée par un pirate masqué qui s'avère être Westley. Mais les amoureux sont bientôt séparés par Humperdinck. Torturé à mort, Westley est libéré par des alliés imprévus avec qui il part à la rescousse de Buttercup.

L’AVIS DE MEDIAFILM

C'est avec un recul amusé mais non parodique que le cinéaste a concocté un hommage tant au conte écrit qu'au vieux cinéma de cape et d'épée. L'enchaînement des péripéties est un peu laborieux mais les scènes diverses sont écrites et exécutées avec tant de verve que le rythme n'en souffre pas trop. La réalisation fait preuve d'audace en ne dissimulant pas le côté théâtral de la mise en scène d'une part, et en exploitant certains effets cinématographiques d'autre part, lorsque le montage se met au service des dons de conteur du grand-père. L'interprétation, bien qu'un peu disparate, est vive et colorée.

Texte : Johanne Larue

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