Belle Époque

Name: Belle Époque
Director: Fernando Trueba
Genre: Comédie dramatique
Duration: 108 min.

Esp. 1992. Comédie dramatique de Fernando Trueba avec Jorge Sanz, Fernando Fernán Gomez, Penélope Cruz. Dans l'Espagne du début des années 1930, un jeune déserteur se réfugie chez un vieux peintre anarchiste dont il séduit les filles. Récit passant allègrement de la farce à la tragédie sans perdre de sa légèreté. Photographie lumineuse. Interprétation enjouée.

Belle Époque (Belle Époque)

13 ans +

Esp. 1992. Comédie dramatique de Fernando Trueba avec Jorge Sanz, Fernando Fernán Gomez, Penélope Cruz.

Dans l'Espagne du début des années 1930, un jeune déserteur se réfugie chez un vieux peintre anarchiste dont il séduit les filles. Récit passant allègrement de la farce à la tragédie sans perdre de sa légèreté. Photographie lumineuse. Interprétation enjouée.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1992

Durée :

108 min.

Réalisation :

Fernando Trueba

Musique :

Antoine Duhamel

Pays :

Espagne

Distributeur :

C/FP

Interprètes :

Jorge Sanz
Fernando Fernán Gomez
Penélope Cruz

En Espagne, en 1931, le jeune Fernando déserte l'armée et quitte Madrid pour la campagne où il trouve asile chez Manolo, un vieux peintre un peu anarchiste. Lorsque les filles du vieil homme viennent lui rendre visite, chacune d'elles s'éprend de Fernando qui, de son côté, ne résiste pas longtemps au feu de la passion. Cependant, seule la cadette, Luz, touche véritablement son coeur, au point qu'il la désire pour femme. Malheureusement, le jour de leur mariage, le curé du village se pend, Manolo déclare tout de même les tourtereaux mariés et leur donne sa bénédiction.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Passant allègrement de la farce à la tragédie, sans pour autant perdre de sa légèreté, cette comédie dramatique communique un grand amour de la vie et des plaisirs qu'elle peut procurer. Certains aspects du scénario peuvent paraître complaisants, comme s'ils avaient été retenus pour exploiter la libido masculine, mais le développement des personnages féminins s'avère si positif que l'intrigue évite joliment les pièges du sexisme. La réalisation est soignée et plus particulièrement la photographie dont la luminosité rappelle UNE PARTIE DE CAMPAGNE de Jean Renoir. L'interprétation s'avère enjouée.

Texte : Johanne Larue

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