É.-U. 1975. Thriller de Steven Spielberg avec Roy Scheider, Richard Dreyfuss, Robert Shaw. Un requin fait des ravages près des plages d'une île côtière. Scénario savamment construit. Personnages pittoresques. Réalisation impeccable. Tension soutenue. Souci du détail percutant. Interprétation savoureuse.
Un requin fait des ravages près des plages d'une île côtière. Scénario savamment construit. Personnages pittoresques. Réalisation impeccable. Tension soutenue. Souci du détail percutant. Interprétation savoureuse.
Le jeune réalisateur de DUEL a mis cette fois-ci en scène un autre genre d'affrontement avec un succès renforcé par des moyens techniques impressionnants. La tension est soutenue avec une rare habileté et le requin, présenté d'abord comme une menace latente, atteint presque finalement aux dimensions d'un mythe. Les scènes de foule autant que les aventures maritimes sont menées avec la même précision nerveuse et le même souci du détail percutant, si bien que l'ensemble forme l'un des plus époustouflants suspenses présentés au cinéma. Les personnages sont très bien campés.
Texte : Robert-Claude Bérubé
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
L'un des chef-d'oeuvres de Spielberg. Premier blockbuster estival officiel de l'Histoire du cinéma. Le PSYCHO de la mer. Le Hitchcock donna la peur de prendre sa douche, alors que le JAWS donna la peur de se baigner en mer, dans un fleuve ou même dans un lac. La réalisation de Spielberg joue la suggestion (on voit rarement le requin) avec brio pour faire croître le suspense et...l'horreur mêlé d'aventures. On a aussi le mythe de MOBY DICK. Les personnages sont attachants, truculents, et l'humour est de la partie sans pour autant casser la tension. Bien sûr le film a l'étiquette des années 70, mais ca donne un certain charme aussi. JAWS est définitivement le modèle absolu du genre. Hitchcock lui-même avait d'ailleurs bien apprécié.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Alexis Laperle, Sherbrooke
Personnages très attachants, plusieurs séquences très stressantes. Dans mon top 3 de Spielberg.
J'attribue à ce film la Cote