Remarquable

Le Cobaye (The Lawnmower Man)

Name: Cobaye, Le
Director: Brett Leonard
Genre: Science-fiction
Duration: 105 min.

G.-B. 1992. Science-fiction de Brett Leonard avec Jeff Fahey, Pierce Brosnan, Jenny Wright. Un simple d'esprit qui sert de cobaye à un scientifique se retrouve avec des pouvoirs paranormaux incontrôlables. Adaptation d'une nouvelle de Stephen King. Éléments familiers. Effets d'animation par ordinateur bien utilisés. Interprétation louable de personnages unidimensionnels.

Le Cobaye (The Lawnmower Man)

13 ans + (violence)

G.-B. 1992. Science-fiction de Brett Leonard avec Jeff Fahey, Pierce Brosnan, Jenny Wright.

Un simple d'esprit qui sert de cobaye à un scientifique se retrouve avec des pouvoirs paranormaux incontrôlables. Adaptation d'une nouvelle de Stephen King. Éléments familiers. Effets d'animation par ordinateur bien utilisés. Interprétation louable de personnages unidimensionnels.

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Genre :

Science-fiction

Année :

1992

Durée :

105 min.

Réalisation :

Brett Leonard

Scénario :

Brett Leonard
Gimel Everett
D'après l'oeuvre de Stephen King

Photographie :

Russell Carpenter

Musique :

Dan Wyman

Montage :

Alan Baumgarten

Pays :

Grande-Bretagne
États-Unis
Japon

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Jeff Fahey
Pierce Brosnan
Jenny Wright
Geoffrey Lewis
Mark Bringelson
Jeremy Slate
Dean Norris
Colleen Coffey
Troy Evans

Le Dr. Angelo, qui a mis au point un programme d'informatique pouvant décupler l'intelligence, teste son invention sur Jobe, un simple d'esprit qui tond les pelouses pour gagner sa vie. Au début, l'expérience est prometteuse puisque Jobe développe ses capacités mentales à un rythme effréné. Cependant, le jeune homme se met à souffrir de terribles maux de tête et se retrouve avec des pouvoirs paranormaux qu'il n'arrive pas à contrôler. En plus, son mentor est incapable de le protéger d'agents gouvernementaux qui voient en lui "l'arme parfaite".

L’AVIS DE MEDIAFILM

Rien de bien neuf dans ce récit où Stephen King se plagie lui-même - le film n'est guère plus qu'une version "high-tech" de FIRESTARTER - en plus d'emprunter amplement à FRANKENSTEIN et au conte de "L'Apprenti-sorcier". Le propos philosophique est traité de façon superficielle et le réalisateur n'arrive pas à créer le climat de tension qui siérait à l'histoire. Les artisans du film utilisent à bon escient les techniques d'animation par ordinateur pour illustrer l'univers virtuel imaginé par l'auteur, mais la mise en scène des passages dramatiques laisse à désirer. Les interprètes font ce qu'ils peuvent avec des personnages unidimensionnels.

Texte : Johanne Larue

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