Payez au suivant (Pay It Forward)

Name: Payez au suivant
Director: Mimi Leder
Genre: Drame sentimental
Duration: 123 min.

É.-U. 2000. Drame sentimental de Mimi Leder avec Haley Joel Osment, Kevin Spacey, Helen Hunt. Un gamin dévoué au bonheur d'autrui tente de jeter son nouvel instituteur dans les bras de sa mère célibataire. Scénario suranné et insipide malgré de bonnes intentions. Mise en scène sans relief. Interprétation fort convenable.

Payez au suivant (Pay It Forward)

Général

É.-U. 2000. Drame sentimental de Mimi Leder avec Haley Joel Osment, Kevin Spacey, Helen Hunt.

Un gamin dévoué au bonheur d'autrui tente de jeter son nouvel instituteur dans les bras de sa mère célibataire. Scénario suranné et insipide malgré de bonnes intentions. Mise en scène sans relief. Interprétation fort convenable.

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Genre :

Drame sentimental

Année :

2000

Durée :

123 min.

Réalisation :

Mimi Leder

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Warner Bros.

Interprètes :

Haley Joel Osment
Kevin Spacey
Helen Hunt

Le jeune Trevor et ses copains de classe se font présenter par leur nouvel instituteur un devoir plutôt singulier: trouver une façon de changer le monde qui les entoure. Inspiré, Trevor met au point un système pyramidal où chaque personne qui reçoit l'aide d'un bon samaritain s'engage à s'acquitter de sa dette morale en venant à son tour en aide à trois autres personnes. Dans le cadre de cette «mission», le gamin cherchera à faire le bonheur de sa mère célibataire et de son instituteur, deux individus écorchés par la vie, en tentant de faire naître une idylle entre eux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

PAY IT FORWARD est un film qui, contrairement à ce que son titre suggère, ne parvient pas à s?élancer et à atteindre son but. Malgré de nobles intentions et beaucoup de bons sentiments, l'ensemble est grandement desservi par un scénario lourdement dialogué, fort prévisible et peu subtil. Le problème de ce film n'est pas tant le fait que le récit ne réserve au spectateur aucune surprise, ou alors qu'il soit gauchement prêchi-prêcha. Le pépin ici est plutôt qu'il utilise des trucs narratifs tellement convenus, surannés, qu'on cherche en vain une raison de s'intéresser vraiment à ce qu'on nous propose. Nombreuses sont également les situations sommairement expédiées et sans véritables conséquences dramatiques. D'où cette impression que le récit finit par faire rapidement du surplace. Quant à la mise en scène de Mimi Leder, purement fonctionnelle, elle ne parvient pas à conférer au film le mordant nécessaire, ni à donner du relief à des personnages plutôt brouillons et sans grande profondeur. Heureusement, l'interprétation assez solide du trio vedette sauve en partie la mise in extremis.

Texte : Carlo Mandolini

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