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2 Jours dans la vallée (2 Days in the Valley)

É.-U. 1996. Drame policier de John Herzfeld avec Danny Aiello, James Spader, Jeff Daniels. Trahi par son complice après avoir commis un meurtre, un tueur à gages vieillissant se cache dans une riche demeure où il séquestre les occupants. Scénario à intrigues multiples enchevêtrées avec souplesse. Rythme maintenu. Ensemble assez divertissant bien que plutôt artificiel. Performances crédibles des interprètes.

13 ans + (violence)
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2 Jours dans la vallée (2 Days in the Valley)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1996. Drame policier de John Herzfeld avec Danny Aiello, James Spader, Jeff Daniels.

Trahi par son complice après avoir commis un meurtre, un tueur à gages vieillissant se cache dans une riche demeure où il séquestre les occupants. Scénario à intrigues multiples enchevêtrées avec souplesse. Rythme maintenu. Ensemble assez divertissant bien que plutôt artificiel. Performances crédibles des interprètes.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Robert Montplaisir
Le tueur à gages Lee Woods recrute les services du meurtrier vieillissant Dosmo Pizzo pour l'aider à éliminer un individu. Lee a l'intention d'abattre Dosmo une fois le coup perpétré, mais ce dernier survit au piège que lui tend son complice déloyal et trouve refuge dans une riche demeure où il séquestre un vendeur d'art et sa secrétaire. La situation se complique avec l'arrivée inopinée d'autres visiteurs. Pendant ce temps, Lee doit récupérer un magot sur le lieu du crime où il se retrouve face à face avec des détectives.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Construit un peu à la manière de Pulp Fiction, le scénario offre une intrigue à tiroirs où des inconnus voient leurs destins s'entrecroiser sur fond de crimes et de violences. Comme chez Tarantino, le cinéaste donne vie à l'écran à des personnages fortement typés, dont un tueur à gages censément ultra-cool. La comparaison ne s'arrête pas là, puisque 2 Days in the Valley propose également de l'humour ironique, un climat de néo-film noir branché, une bonne dose de violence présentée avec un détachement désinvolte et des dialogues remplis de formules punchées. Moins habile narrativement et moins évocateur formellement que le modèle qu'il imite, ce succédané de Pulp Fiction se laisse tout de même voir sans ennui. Les différentes intrigues s'enchevêtrent avec souplesse et la cadence des développements se maintient à un bon rythme. Malgré le ton assez artificiel de l'ensemble, les interprètes livrent des performances crédibles.

Texte : Martin Girard

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