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Tunnel de l'enfer (Daylight)

É.-U. 1996. Film catastrophe de Rob Cohen avec Sylvester Stallone, Amy Brenneman, Viggo Mortensen. L'ex-chef des services d'urgence new-yorkais tente de sauver une douzaine de rescapés d'une explosion dans un tunnel. Reprise des éléments habituels du genre. Scènes de tension efficacement menées malgré certaines invraisemblances. Effets spéciaux spectaculaires. Réalisation sans panache. Interprétation chargée.

Général
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Tunnel de l'enfer (Daylight)

Général Général

É.-U. 1996. Film catastrophe de Rob Cohen avec Sylvester Stallone, Amy Brenneman, Viggo Mortensen.

L'ex-chef des services d'urgence new-yorkais tente de sauver une douzaine de rescapés d'une explosion dans un tunnel. Reprise des éléments habituels du genre. Scènes de tension efficacement menées malgré certaines invraisemblances. Effets spéciaux spectaculaires. Réalisation sans panache. Interprétation chargée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Universal
À la suite d'une gigantesque explosion dans le tunnel Holland à New York, une douzaine de personnes, miraculeusement indemnes, s'y trouvent prisonnières. Kit Latura, ex-directeur des services d'urgence, congédié quelques années plus tôt après avoir été tenu responsable de la mort de plusieurs hommes, tente de se racheter en s'introduisant dans le tunnel pour sauver les survivants de l'hécatombe.

L’AVIS DE MEDIAFILM

On a largement parlé au sujet de ce film d'une tentative pour Sylvester Stallone de redorer son blason dans un rôle où il n'aurait pas à rouler des mécaniques pour devenir un héros. Le problème, c'est qu'il se révèle encore très à l'aise dans les scènes d'action ou de tension, mais beaucoup moins lorsqu'il doit véhiculer une émotion. Il en résulte un film-catastrophe qui souffre de certaines invraisemblances (dont la situation de départ), de nombreux clichés (des gens de divers milieux doivent s'unir et mettre de côté leur antagonisme pour s'en sortir), de personnages grossièrement esquissés, de dialogues plutôt indigents, d'une mise en scène sans panache et d'une interprétation chargée. Et c'est un peu dommage, car la plupart des moments de tension tiennent le spectateur en haleine, sans compter que les effets spéciaux, fort spectaculaires, sont à la hauteur des ambitions de ce Fort Boyard de deux heures.

Texte : Jean Beaulieu

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