Go to main content
4

Salo ou les 120 journées de Sodome (Salò o le 120 giornate di Sodoma)

It. 1975. Drame de Pier Paolo Pasolini avec Paolo Bonacelli, Giorgio Cataldi, Uberto P. Quintavalle. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, quatre notables fascistes assouvissent leurs plaisirs particuliers en soumettant des jeunes gens à des jeux pervers. Sorte de rituel de la perversion inspiré d'un roman du marquis de Sade. Distanciation solennelle. Illustration désabusée et provocatrice. Maîtrise de la mise en scène.

18 ans + (violence, érotisme)
4

Salo ou les 120 journées de Sodome (Salò o le 120 giornate di Sodoma)

18 ans + (violence, érotisme) 18 ans + (violence, érotisme)

It. 1975. Drame de Pier Paolo Pasolini avec Paolo Bonacelli, Giorgio Cataldi, Uberto P. Quintavalle.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, quatre notables fascistes assouvissent leurs plaisirs particuliers en soumettant des jeunes gens à des jeux pervers. Sorte de rituel de la perversion inspiré d'un roman du marquis de Sade. Distanciation solennelle. Illustration désabusée et provocatrice. Maîtrise de la mise en scène.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Karim
A la fin de la guerre, en Italie, quatre notables fascistes décident de se retirer dans une villa luxueuse pour assouvir leurs plaisirs particuliers avant la débâcle définitive. Ils font réunir par des soldats des jeunes gens et jeunes filles des environs qu'ils soumettent ensuite par la force à des jeux pervers. Trois dames d'âge mûr sont chargées de raconter des récits obscènes qui serviront d'inspiration aux inventions dépravées des bourreaux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Triste testament que ce film de Pasolini où le cinéaste s'est efforcé de mettre en images une sorte de rituel de la perversion en transposant à l'époque fasciste un livre du marquis de Sade. La distanciation solennelle alterne avec la précision graphique dans une illustration provocatrice des excès du pouvoir. L'orientation politique du traitement se perd vite en un catalogue d'atrocités présentées avec un feint détachement. Il reste que la mise en scène ne manque pas d'une certaine maîtrise dans son traitement désabusé de la dépravation humaine.

Texte : Robert-Claude Bérubé

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3