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Le Bon Fils (The Good Son)

É.-U. 1993. Thriller de Joseph Ruben avec Elijah Wood, Macaulay Culkin, Wendy Crewson. À l'occasion d'un séjour chez un oncle, un garçon découvre que son cousin est un enfant diabolique. Suspense peu crédible. Scénario d'une extrême minceur. Quelques passages efficaces. Jeu convaincant d'E. Wood.

13 ans +
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Le Bon Fils (The Good Son)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 1993. Thriller de Joseph Ruben avec Elijah Wood, Macaulay Culkin, Wendy Crewson.

À l'occasion d'un séjour chez un oncle, un garçon découvre que son cousin est un enfant diabolique. Suspense peu crédible. Scénario d'une extrême minceur. Quelques passages efficaces. Jeu convaincant d'E. Wood.

Genre :
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Montage :
À la mort de son épouse, Jack Evans confie pour quelque temps son fils Mark, âgé de douze ans, à son frère Wallace qui habite avec sa famille le long de la côte Est des États-Unis. Mark renoue ainsi avec son cousin Henry qui est de son âge. Il trouve également un certain réconfort auprès de sa tante Susan, qu'il considère un peu comme sa nouvelle mère. Très tôt cependant, le garçon constate que son cousin agit de façon fort inquiétante, mais personne à la maison ne semble s'en apercevoir. Ainsi, sa tante ne veut pas le croire quand il prétend que Henry a tenté de tuer sa petite soeur au cours d'une séance de patinage sur le lac gelé. Pourtant, le diabolique gamin songe maintenant à s'en prendre à sa propre mère.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur de SLEEPING WITH THE ENEMY a réuni les deux étoiles montantes du cinéma pour enfants dans un suspense qui rate totalement sa cible. Le principal problème réside dans le jeu monolithique de Macaulay Culkin, qui ne parvient tout simplement pas à faire croire à l'angélisme hypocrite de son personnage, si bien que l'aveuglement des membres de sa famille en perd toute crédibilité. D'une extrême minceur, le scénario offre peu de latitude au réalisateur, qui se contente de multiplier les effets de caméra vertigineux, dont certains sont efficaces, notamment ceux de la séquence finale. Fort heureusement, Elijah Wood et Wendy Crewson s'avèrent autrement plus convaincants que la vedette principale.

Texte : Louis-Paul Rioux

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