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Batman: Le Masque du Phantasme (Batman: Mask of the Phantasm)

É.-U. 1993. Dessins animés de Eric Radomski, Bruce Timm . Un justicier masqué enquête sur un mystérieux tueur qui décime l'un après l'autre les membres d'une organisation criminelle. Histoire plutôt rudimentaire. Style visuel intéressant inspiré du mouvement art déco. Quelques flashs imaginatifs. Animation manquant de souplesse.

Général
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Batman: Le Masque du Phantasme (Batman: Mask of the Phantasm)

Général Général

É.-U. 1993. Dessins animés de Eric Radomski, Bruce Timm .

Un justicier masqué enquête sur un mystérieux tueur qui décime l'un après l'autre les membres d'une organisation criminelle. Histoire plutôt rudimentaire. Style visuel intéressant inspiré du mouvement art déco. Quelques flashs imaginatifs. Animation manquant de souplesse.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
Un mystérieux personnage ayant l'apparence du spectre de la mort décime l'un après l'autre les membres d'une organisation criminelle de Gotham City. D'aucuns attribuent injustement ces crimes au justicier Batman dont le masque dissimule le visage du millionnaire Bruce Wayne. En menant une enquête afin de démasquer ce mystérieux ange exterminateur, celui-ci découvre un lien entre les victimes et le père d'Andréa Beaumont, son ex-fiancée qui a rompu pour une raison obscure. Batman se persuade bien vite que la jeune femme, qui revient tout juste d'un long voyage à l'étranger, possède la clé du mystère. Les choses se compliquent lorsque le diabolique criminel appelé le Joker se mêle de l'affaire.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film dérive d'une série télévisée routinière manufacturée par la même équipe d'artisans. C'est dire qu'on se trouve devant un produit aux techniques d'animation peu raffinées qui s'adresse essentiellement aux spectateurs déjà conquis par les exploits du justicier au petit écran. Les autres risquent d'être plutôt indifférents à l'ensemble. Le design des décors, inspiré du mouvement art déco des années 30, s'avère le seul élément à retenir au plan artistique. L'histoire demeure au niveau le plus rudimentaire de la bande dessinée et l'animation déçoit plus souvent qu'autrement avec ses mouvements approximatifs et ses effets simplistes et ce, malgré quelques flashs imaginatifs.

Texte : Martin Girard

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