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Opération Condor (Feiying Gaiwak)

H.-K. 1991. Aventures de Jackie Chan avec Jackie Chan, Carol Cheng, Eva Cobo de Garcia. Un aventurier part à la recherche d'une réserve d'or que les nazis auraient enfouie dans une base secrète sous les dunes du Sahara. Péripéties mouvementées mais simplistes. Humour infantile. Cascades et combats réussis. Jeu bondissant de J. Chan.

Général
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Opération Condor (Feiying Gaiwak)

Général Général

H.-K. 1991. Aventures de Jackie Chan avec Jackie Chan, Carol Cheng, Eva Cobo de Garcia.

Un aventurier part à la recherche d'une réserve d'or que les nazis auraient enfouie dans une base secrète sous les dunes du Sahara. Péripéties mouvementées mais simplistes. Humour infantile. Cascades et combats réussis. Jeu bondissant de J. Chan.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
L'aventurier Jackie part à la recherche d'une réserve d'or que les nazis auraient enfouie dans une base secrète sous les dunes du Sahara. Accompagné de la petite-fille du commandant allemand qui était en charge de ce trésor, ainsi que d'une jeune assistante chinoise et d'une ethnologue japonaise, l'intrépide Jackie doit affronter plusieurs ennemis avant de découvrir enfin l'emplacement de la base allemande où l'attendent de nouveaux dangers.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Réalisé en 1991, ce film sort sur les écrans nord-américains avec au générique de fin un «copyright» de 1997. Le distributeur américain a réduit la durée du film original, qui passe de 103 à 89 minutes, et il a modifié la bande sonore, ajoutant de nouveaux effets et remplaçant complètement la musique, en plus, bien sûr, de doubler les voix en anglais. Toutes ces modifications ne changent pas ou n'améliorent pas en profondeur ce qui demeure, pour l'essentiel, un film d'action mouvementé mais aux péripéties simplistes. Le film se présente comme une imitation de la série des INDIANA JONES qui n'était déjà elle-même qu'une variation luxueuse sur les thèmes des vieux serials américains. Jackie Chan se montre toujours aussi agile et impétueux dans les scènes de cascades et de combats, mais le traitement humoristique qu'il a donné à son film tombe trop souvent dans l'infantilisme. Les personnages sont de véritables caricatures ambulantes (en particulier les femmes et les Arabes) et le niveau de l'interprétation ne leur fournit aucune nuance supplémentaire.

Texte : Martin Girard

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