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Monsieur Destin (Mr. Destiny)

É.-U. 1990. Comédie fantaisiste de Michael Caine, James Orr avec James Belushi, Linda Hamilton, Hart Bochner. Un barman a le pouvoir de faire vivre à un homme l'existence qu'il aurait eue s'il avait su frapper la balle, lors d'un match fatidique de baseball vingt ans auparavant. Fantaisie laborieuse et peu convaincante. Éléments connus du genre. Mise en scène appliquée. Jeu sympathique de J. Belushi.

Général
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Monsieur Destin (Mr. Destiny)

Général Général

É.-U. 1990. Comédie fantaisiste de Michael Caine, James Orr avec James Belushi, Linda Hamilton, Hart Bochner.

Un barman a le pouvoir de faire vivre à un homme l'existence qu'il aurait eue s'il avait su frapper la balle, lors d'un match fatidique de baseball vingt ans auparavant. Fantaisie laborieuse et peu convaincante. Éléments connus du genre. Mise en scène appliquée. Jeu sympathique de J. Belushi.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Buena Vista Home Video
Employé dans une fabrique d'instruments sportifs, Larry Burrows regrette diverses circonstances de sa vie et rêve du succès qui aurait été sien s'il avait su frapper la balle lors d'un match fatidique de baseball vingt ans auparavant. Il fait la rencontre d'un barman mystérieux, Mike, qui a le pouvoir de lui faire vivre la situation qu'il aurait s'il avait réussi son coup. Larry se retrouve directeur de sa compagnie, marié à la fille de son patron, vivant dans une résidence luxueuse, père de deux enfants et nanti d'une maîtresse exigeante. Il regrette pourtant Ellen, l'épouse qu'il avait dans son existence alternative, et qu'il retrouve maintenant mariée à un autre. Par suite des manoeuvres d'un subordonné ambitieux, Larry est accusé d'un meurtre qu'il n'a pas commis et recherche désespérément Mike.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Empruntant des éléments à divers succès antérieurs dans le genre, le réalisateur, qui en est à son premier film, a concocté une fantaisie laborieuse et peu convaincante. Michael Caine, annoncé en vedette, ne tient là-dedans qu'un rôle passager en personnification du destin. La mise en scène est plus appliquée qu'inventive et ne tire pas vraiment profit des possibilités du sujet Tout reste à un niveau superficiel et la conclusion apparaît particulièrement artificielle, même si l'on tient compte des circonstances. Belushi est pourtant assez sympathique dans le rôle principal.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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