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Bagdad Café (Out of Rosenheim)

All. 1987. Comédie de moeurs de Percy Adlon avec Marianne Sagebrecht, CCH Pounder, Jack Palance. Égarée dans un désert américain, une Bavaroise rondouillarde trouve refuge dans un motel isolé où elle transforme la vie des habitants. Intrigue aux développements originaux. Personnages attachants. Mélange agréable de fantaisie et de tendresse. Interprétation colorée.

Général
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Bagdad Café (Out of Rosenheim)

Général Général

All. 1987. Comédie de moeurs de Percy Adlon avec Marianne Sagebrecht, CCH Pounder, Jack Palance.

Égarée dans un désert américain, une Bavaroise rondouillarde trouve refuge dans un motel isolé où elle transforme la vie des habitants. Intrigue aux développements originaux. Personnages attachants. Mélange agréable de fantaisie et de tendresse. Interprétation colorée.

Année :
Durée :
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Action-Films
Récompenses
Abandonnée par son mari dans un désert du Sud-Ouest américain, une grosse Bavaroise, Jasmin, trouve un gîte dans un motel isolé tenu par une Noire, Brenda. Accueillie assez froidement au début, Jasmin gagne la sympathie des grands enfants de Brenda et de quelques excentriques qui vivent sur les lieux, dont un ancien décorateur d'Hollywood, Rudi Cox. L'Allemande se met à attirer la clientèle par des trucs de magie et le motel connaît une prospérité toute neuve. Mais les lois de l'immigration forcent Jasmin à rentrer en Bavière, au grand chagrin de Brenda, maintenant devenue son amie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Percy Adlon (CÉLESTE) a rengagé la monumentale actrice de son SUGAR BABY pour une autre exploration insolite des rapports humains. Le site inhabituel du désert de Mojave permet à l'auteur des cadrages déconcertants dans un traitement filmique évoquant aussi bien la solitude que l'apaisement. Par un travail d'observation attentive, le film révèle une chaleureuse humanité chez des personnages apparemment excentriques. Un humour discret très efficace anime l'interprétation.

Texte : Robert-Claude Bérubé

Revue de presse

Une Bavaroise au pays des cactus

BAGDAD CAFÉ a trouvé son propre style dans l'emploi de la lumière, dans la présence de Sägebrecht, dans ses cadrages inclinés et dans la chanson Calling You. Le film nous rappelle que la beauté ne réside pas dans les êtres (...), mais dans le regard qu'on pose sur eux. (Texte paru en 1990)

Bagdad Café Percy Adlon

Un Film sain, optimiste et positif

Si le début du film est un peu déroutant par sa mise en images, l'originalité du montage donne un impact certain à la rupture du couple. (...) Adlon a su filmer avec maîtrise et poésie les grandes étendues désertiques, offrant une large palette de couleurs. (Texte paru en 1988)

Bagdad Café Percy Adlon

Love Me, Please l'OVNI

(...) la Kolossale Marianne Sägebrecht (...), tout à la fois pute fantasque de Fellini, poupée gonflable de Russ Meyer, Sissi boursouflée à la choucroute-purée, impératrice dragonne, extravagante, magnifique et bouleversante: un cas, une reine. (Texte paru en 1988)

Bagdad Café Percy Adlon

Ballad of a Sad Cafe

Talk about disappointment. BAGDAD CAFÉ is so pretentious, self-indulgent and pseudo-arty that it looks more like a student version of a "serious film" than the work of a well-regarded director like Adlon. (Texte paru en 1988)

Bagdad Café Percy Adlon

Mélange explosif

Le cheminement de la métamorphose est réglé avec une intelligence qui (...) engendre des péripéties teintées de fulgurances poétiques très enivrantes. (...) C'est sain, dynamique, avec juste ce qu'il faut d'humour pour n'être pas moralisateur. (Texte paru en 1988)

Bagdad Café Percy Adlon

Mystery Swirls Like Smoke Through Cafe

Unlike Wim Wenders, another German director similarily motivated by the American Southwest, Adlon doesn't feel lost in its vastness. His desert is infinitely rich. Something - or someone - is always coming out of the horizon. (Texte paru en 1988)

Bagdad Café Percy Adlon

Une Amérique de rêve

À partir d'une anecdote en apparence sans conséquence, Percy Adlon raconte sa fable. C'est le choc des cultures perçu et évoqué à travers des filtres colorants qui rendent le ciel et le sable du désert tantôt roses, tantôt violacés. (Texte paru en 1988)

Bagdad Café Percy Adlon

Humanity Lost in the Desert

Adlon's ironic use of the American landscape leads him into some difficult territory, and the narrative is often as barren as the photography. But BAGDAD's searing character studies are worth the journey. (Texte paru en 1988)

Bagdad Café Percy Adlon

Étonnant comme un mirage dans le désert

Une peinture sans concession de l'Amérique crasseuse (...). C'est drôle et émouvant et les acteurs sont prodigieux. Jack Palance sorti de ses rôles de méchants est irrésistible en peintre raté, et Marianne Sägebrecht (...) est fantastique. (Texte paru en 1988)

Bagdad Café Percy Adlon

L'Europe est l'avenir de l'Amérique!

Cette comédie exquise (...) prend toute sa signification symbolique dans la rencontre du vieux monde (...) avec le Nouveau, qui, malgré ses promesses et ses rêves, si près de Las Vegas, lieu métaphorique du plaisir, n'arrive pas à lui donner vie. (Texte paru en 1988)

Bagdad Café Percy Adlon

La Traversée du désert

Il y avait longtemps qu'on n'avait pas ressenti autant de nouveauté devant un film, autant de fraîcheur dans le regard. Autant de conviction dans la naïveté. (...) BAGDAD CAFÉ est un film d'espoir (...) [qui] nous fait la promesse d'un monde meilleur. (Texte paru en 1988)

Bagdad Café Percy Adlon

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