Go to main content
5

La Machine à explorer le temps (The Time Machine)

É.-U. 2002. Science-fiction de Simon Wells avec Guy Pearce, Samantha Mumba, Jeremy Irons. Un savant de la fin du XIXe siècle voyage dans le futur jusqu'en l'an 800 000 grâce à une machine de son invention. Adaptation libre et controuvée du roman de H.G. Wells. Progression de l'intrigue plutôt chaotique. Ensemble techniquement et visuellement impressionnant. Jeu fiévreux à souhait de G. Pearce.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
5

La Machine à explorer le temps (The Time Machine)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 2002. Science-fiction de Simon Wells avec Guy Pearce, Samantha Mumba, Jeremy Irons.

Un savant de la fin du XIXe siècle voyage dans le futur jusqu'en l'an 800 000 grâce à une machine de son invention. Adaptation libre et controuvée du roman de H.G. Wells. Progression de l'intrigue plutôt chaotique. Ensemble techniquement et visuellement impressionnant. Jeu fiévreux à souhait de G. Pearce.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
D'après le roman de Herbert George Wells
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
À New York, en 1899, le jeune inventeur Alexander Hartdegen perd sa fiancée dans un terrible accident. Il décide alors de construire une machine à voyager dans le temps afin de se transporter dans le passé pour tenter de changer la tragique destinée de sa bien-aimée. Mais un concours de circonstances le projette dans le futur, d'abord en 2037, où il est témoin de la destruction de New York à la suite d'un cataclysme, puis 800 000 années plus tard, où il découvre une nouvelle civilisation dans laquelle les humains vivent sous la menace des morlocks, de monstrueuses créatures cannibales. Devenu lui-même prisonnier de ces êtres qui vivent dans des cavernes souterraines, Alexander n'est pas au bout de ses peines, ni de ses surprises...

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après PLANET OF THE APES, voilà un autre classique de la science-fiction des années 1960 remis au goût du jour dans un remake à gros budget. Ici, comme dans le long métrage de Tim Burton, les auteurs s'éloignent à la fois du film original, réalisé par George Pal, et du livre qui en était l'inspiration. Il est d'ailleurs difficile de comprendre pourquoi les auteurs se sont obstiné à transformer le récit imaginé par H.G. Wells, pour offrir à la place des variations qui apparaissent controuvées. Toute la première moitié du film fonctionne plutôt bien. L'idée du voyage dans le temps comme méthode pour contrer un destin amoureux tragique est même assez originale et bien traitée. Mais aussitôt que le film se propulse dans le lointain futur, la progression de l'intrigue devient chaotique et précipitée. Ce qui ne laisse aucune place à un suspense véritable, un reproche qu'on ne pouvait certainement pas adresser au film de George Pal, malgré son côté un peu kitsch. Il faut toutefois admettre que ce remake est techniquement et visuellement impressionnant, avec une mention spéciale pour les très beaux décors. Guy Pearce joue avec vigueur et conviction, mais son personnage aurait mérité d'être mieux développé, comme les autres d'ailleurs.

Texte : Martin Girard

COMMENTAIRES

16 décembre 2016, 21:14:27

Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières

Ca aurait pu être beaucoup mieux comme film. Surtout dans le futur où le peuple archaïque est trop cliché. C'était mieux décrit et plus original dans le roman. Un réalisateur comme Zemeckis ou Spielberg aurait sans doute fait mieux. Reste que la première partie est prometteuse, les morlocks sont heureusement pas fait en numérique et Guy Pearce se débrouille assez bien.

J'attribue à ce film la Cote 3


L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3