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Mortal Kombat II - L'Anéantissement (Mortal Kombat - Annihilation)

É.-U. 1997. Drame fantastique de John R. Leonetti avec Robin Shou, Talisa Soto, Brian Thompson. Des champions en arts martiaux affrontent les terribles créatures d'une autre dimension qui cherchent à détruire l'humanité. Produit de série basé sur un jeu vidéo. Scénario puéril et insignifiant. Réalisation quelconque. Interprètes fatigués.

13 ans + (violence)
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Mortal Kombat II - L'Anéantissement (Mortal Kombat - Annihilation)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1997. Drame fantastique de John R. Leonetti avec Robin Shou, Talisa Soto, Brian Thompson.

Des champions en arts martiaux affrontent les terribles créatures d'une autre dimension qui cherchent à détruire l'humanité. Produit de série basé sur un jeu vidéo. Scénario puéril et insignifiant. Réalisation quelconque. Interprètes fatigués.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Shao-Kahn, le diabolique souverain de l'autre monde, est parvenu à rouvrir le portail que le sage Rayden et ses disciples humains, champions en arts martiaux, croyaient avoir scellé pour toujours. S'étant mis en tête de détruire l'humanité en six jours, Shao-Kahn recrute les services des quatre créatures les plus meurtrières de l'univers. Avant de les affronter, les combattants humains doivent atteindre le temple des Sages où ils recevront l'enseignement nécessaire pour vaincre définitivement l'ennemi.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le succès relatif de la première adaptation de ce jeu vidéo au grand écran devait inévitablement entraîner une suite. Bien que disposant de moyens techniques assez impressionnants, il n'en demeure pas moins que cette insupportable récidive n'améliore en rien un produit déjà excessivement tapageur et tape-à-l'oeil. Le scénario se révèle en fait plus simpliste encore que la trame puérile de son modèle électronique et repose entièrement sur une enfilade de scènes de combats des plus insignifiantes. Pour spectaculaires qu'elles paraissent, ces scènes sont réalisées sans grande imagination par le directeur de la photographie du premier film, en plus d'être montées de façon incohérente et confuse. Même l'auto-dérision qui accompagne habituellement ce genre de projet est ici absente. Seule persiste une lourdeur assommante que les acrobaties inexpressives d'interprètes fatigués ne contribuent surtout pas à enrayer.

Texte : André Caron

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