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L'Arbre aux sabots (L'albero degli zoccoli)

Name: Arbre aux sabots, L'
Director: Ermanno Olmi
Genre: Chronique
Duration: 186 min.

It. 1977. Chronique de Ermanno Olmi avec Luigi Arnaghi, Lucia Pezzoli, Giuseppe Brignoli. À la fin du XIXe siècle, la vie de paysans qui partagent le quartier d'habitation d'une ferme de Lombardie. Reconstitution soignée. Mélange habile de poésie et de réalisme. Photographie admirable. Beauté constante. Jeu naturel d'interprètes non professionnels. (sortie en salle: 3 juin 2008)

L'Arbre aux sabots (L'albero degli zoccoli)

Général

It. 1977. Chronique de Ermanno Olmi avec Luigi Arnaghi, Lucia Pezzoli, Giuseppe Brignoli.

À la fin du XIXe siècle, la vie de paysans qui partagent le quartier d'habitation d'une ferme de Lombardie. Reconstitution soignée. Mélange habile de poésie et de réalisme. Photographie admirable. Beauté constante. Jeu naturel d'interprètes non professionnels. (sortie en salle: 3 juin 2008)

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Genre :

Chronique

Année :

1977

Durée :

186 min.

Réalisation :

Ermanno Olmi

Scénario :

Ermanno Olmi

Photographie :

Ermanno Olmi

Montage :

Ermanno Olmi

Pays :

Italie

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Luigi Arnaghi
Lucia Pezzoli
Giuseppe Brignoli
Francesca Moriggi
Omar Brignoli
Antonio Ferrari

Récompenses

Quatre familles de paysans partagent le quartier d'habitation d'une ferme de Lombardie. Au long de quelques mois d'automne, d'hiver et de printemps, se vivent des tâches communes en même temps que des réunions en soirée, alors qu'on se raconte les histoires traditionnelles. Certains ont cependant des entreprises particulières, tel ce vieillard fier de garder son secret d'une récolte hâtive de tomates. L'un des paysans est chassé avec sa famille parce qu'il a abattu un arbre afin de tailler des sabots à son jeune fils.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Auteur complet, responsable de chacun des aspects de son film, Olmi a tourné une admirable chronique de la vie paysanne à la fin du 19e siècle. Il a peint un tableau riche et chaleureux où revivent les travaux et les jours, les peines et les joies, dans une évocation parfaitement vraisemblable d'un style quasi documentaire. La photographie est d'une beauté constante sans jamais céder à un enjolivement artificiel et les scènes diverses s'imbriquent dans un ensemble parfaitement agencé. Le réalisateur a obtenu d'interprètes non professionnels un jeu d'un naturel étonnant.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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