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Le Festin nu (Naked Lunch)

Can. 1991. Drame fantastique de David Cronenberg avec Peter Weller, Judy Davis, Ian Holm. Après avoir accidentellement tué sa femme, un exterminateur se réfugie dans un étrange pays imaginaire peuplé de créatures bizarres. Adaptation ingénieuse mais un peu pesante du roman de W.S. Burroughs. Climat de mystère dense et fascinant. Touches d'humour absurde. Aspects visuels maîtrisés. Interprètes de talent.

16 ans +
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Le Festin nu (Naked Lunch)

16 ans + 16 ans +

Can. 1991. Drame fantastique de David Cronenberg avec Peter Weller, Judy Davis, Ian Holm.

Après avoir accidentellement tué sa femme, un exterminateur se réfugie dans un étrange pays imaginaire peuplé de créatures bizarres. Adaptation ingénieuse mais un peu pesante du roman de W.S. Burroughs. Climat de mystère dense et fascinant. Touches d'humour absurde. Aspects visuels maîtrisés. Interprètes de talent.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
David Cronenberg
D'après le roman de William S. Burroughs
Photographie :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Récompenses
En 1953, à New York, un exterminateur dénommé Bill Lee découvre que sa femme, Joan, utilise son insecticide en poudre pour se droguer. En tentant lui-même l'expérience, il tue accidentellement Joan. Il se réfugie ensuite dans un bar où une étrange créature l'incite à se rendre dans un pays nommé Interzone, où Bill devient malgré lui un informateur. Son travail consiste à rédiger des rapports que lui dicte sa machine à écrire transformée en insecte pariant. Bill fait la connaissance d'une femme physiquement identique à Joan et qui, un jour, disparaît mystérieusement. Il veut alors la retrouver et s'aventure dans les tréfonds d'Interzone.

L’AVIS DE MEDIAFILM

En introduisant dans son adaptation du livre de Burroughs des éléments de la biographie de l'auteur, Cronenberg décrit certains aspects de la création du roman. La première partie du film s'avère une grande réussite, tant au plan de l'écriture que du style. Le réalisateur crée un climat de mystère dense et fascinant, agrémenté de plusieurs touches d'humour absurde. Mais l'inspiration du cinéaste s'amenuise par la suite et l'intérêt du spectateur finit par s'effriter. Baignant dans des teintes ocres, le film est plastiquement fort bien maîtrisé. Peter Weller compose avec talent un halluciné.

Texte : Martin Girard

COMMENTAIRES

13 février 2019, 20:23:45

Par : Jason Plante, Gatineau

... Et puis d'ailleurs, qui a compris que la coquerelle géante parlait non pas par son nombril, mais par son ANUS!!! Alors imaginez une finale avec notre sainte mère a nous, Fadela, la reine des 'gouines' et que c'est le trou-du-cul du docteur Benway, qui parle dans la bouche de Fadelah??? Réveillez-vous o frères gais, il fau deviner l'apport du bon Dieu qui est présent même dans la tête de notre Mère Perverse FADELA...

J'attribue à ce film la Cote 3


02 août 2016, 20:31:14

Par : Jason Plante, Gatineau

Excellent film noir sur le monde interlope, melange avec les histoires du "bon" Dieu. Judy Davis dit; on a comme un effet kafka, on deviant un cloporte... Genial! Qui l'a compris??? On a comme un effet kafka, on deviant UNE VERMINE!!! Elle qui se shoutte sa poudre a parasite jusqu'au fond de sa canette. Je ne trouve pas qu'il y a des longueurs, a meme que c'est l'un de mes films preferes de David Cronenberg...

J'attribue à ce film la Cote 3


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