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La Diable (She-Devil)

É.-U. 1989. Comédie de Susan Seidelman avec Roseanne Barr, Meryl Streep, Ed Begley Jr.. Découvrant que son mari la trompe avec une riche romancière, une femme obèse jure de détruire la vie de celui-ci. Comédie féministe pleine de fantaisie et de mordant. Approche caricaturale souffrant un peu de sa structure épisodique. Rythme pas toujours soutenu. Interprétation peu nuancée mais accordée au ton.

Général
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La Diable (She-Devil)

Général Général

É.-U. 1989. Comédie de Susan Seidelman avec Roseanne Barr, Meryl Streep, Ed Begley Jr..

Découvrant que son mari la trompe avec une riche romancière, une femme obèse jure de détruire la vie de celui-ci. Comédie féministe pleine de fantaisie et de mordant. Approche caricaturale souffrant un peu de sa structure épisodique. Rythme pas toujours soutenu. Interprétation peu nuancée mais accordée au ton.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Barry Strugatz
Mark R. Burns
D'après le roman de Fay Weldon
Photographie :
Musique :
Montage :
Ruth Pratchett n'a pas été gâtée par la vie. Elle est obèse, mère de deux enfants turbulents et prisonnière de ses tâches ménagères. Elle se rebelle le jour où elle découvre que son mari la trompe avec Mary Fisher, une riche et belle auteure de romans sentimentaux. Machiavélique, Ruth jure alors de détruire les quatre choses auxquelles son mari tient le plus: sa maison, sa famille, sa carrière et sa liberté. Mais elle ne fait pas que semer la destruction. Grâce à son plan, des vieillards reprennent goût à la vie, des femmes démunies trouvent une carrière et Mary devient une romancière respectée.

L’AVIS DE MEDIAFILM

SHE-DEVIL s'insère parfaitement dans l'oeuvre de Susan Seidelman. On y retrouve la fantaisie, le mordant et l'approche caricaturale de ses autres comédies féministes. Cependant, le scénario de SHE-DEVIL souffre un peu de sa structure épisodique. Certains développements sont prévisibles et le rythme n'est pas toujours soutenu. Demeure l'originalité du traitement visuel où décors, couleurs, cadrages et mouvements de caméra sont soumis à un néo-expressionnisme flamboyant. L'interprétation n'est pas très nuancée mais s'accorde au ton du film.

Texte : Johanne Larue

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