The Wolf at the Door (Oviri)

Name: Wolf at the Door, The
Director: Henning Carlsen
Genre: Drame biographique
Duration: 92 min.

1985. Drame biographique de Henning Carlsen avec Donald Sutherland, Sofie Grabol, Valerie Glandut. Évocation de la vie tourmentée du peintre français Paul Gauguin. Accent mis sur les relations du peintre avec les figures connues de son temps. Résultat passablement compassé. Illustration assez soignée. Jeu acceptable de D. Sutherland.

The Wolf at the Door (Oviri)

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1985. Drame biographique de Henning Carlsen avec Donald Sutherland, Sofie Grabol, Valerie Glandut.

Évocation de la vie tourmentée du peintre français Paul Gauguin. Accent mis sur les relations du peintre avec les figures connues de son temps. Résultat passablement compassé. Illustration assez soignée. Jeu acceptable de D. Sutherland.

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Genre :

Drame biographique

Année :

1985

Durée :

92 min.

Réalisation :

Henning Carlsen

Distributeur :

Malofilm

Interprètes :

Donald Sutherland
Sofie Grabol
Valerie Glandut

À la fin de 1893, le peintre Paul Gauguin rentre en France après deux ans passés à Tahiti. Il s'installe dans un atelier de Montmartre et prépare une exposition de ses plus récentes oeuvres. L'affaire est un échec; il ne réussit à vendre que quelques rares toiles. En attendant un héritage familial, Gauguin continue à vivoter, observé par la fille adolescente d'un couple voisin qui voudrait bien poser pour lui. Mais le peintre a pour modèle une Javanaise, Annah, qui est aussi sa maîtresse. Gauguin espère emmener avec lui à Tahiti des collègues pour y fonder une colonie artistique.

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On peut se surprendre qu'un cinéaste danois s'intéresse à Gauguin, mais il faut savoir que la femme de l'artiste venait du Danemark, ce qui est ici l'occasion de quelques scènes acrimonieuses. Comme dans beaucoup d'évocations biographiques du genre, on insiste sur les relations du sujet avec les figures connues de son temps, ce qui amène une apparition de Degas et quelques scènes avec le dramaturge suédois Strindberg. Le résultat apparaît passablement compassé tout en étant présenté dans une illustration assez soignée. Sutherland campe un Gauguin acceptable.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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