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Exit Through the Gift Shop

G.-B. 2009. Documentaire de Banksy . Après avoir filmé en action les plus grands graffiteurs du monde, Thierry Guetta, Français expatrié à Los Angeles, s'essaie lui-même à cet art, suivi par la caméra de son idole Banksi. Incursion fascinante dans l'univers clandestin des artistes de rue. Critique cinglante du milieu des collectionneurs d'art, à la limite du canular. Interventions savoureuses de T. Guetta. Forme négligée et brute, en adéquation avec le propos. (sortie en salle: 7 mai 2010)

Général
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Exit Through the Gift Shop (Exit Through the Gift Shop)

Général Général

G.-B. 2009. Documentaire de Banksy .

Après avoir filmé en action les plus grands graffiteurs du monde, Thierry Guetta, Français expatrié à Los Angeles, s'essaie lui-même à cet art, suivi par la caméra de son idole Banksi. Incursion fascinante dans l'univers clandestin des artistes de rue. Critique cinglante du milieu des collectionneurs d'art, à la limite du canular. Interventions savoureuses de T. Guetta. Forme négligée et brute, en adéquation avec le propos. (sortie en salle: 7 mai 2010)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Montage :
Distributeur :
Métropole Films Distribution
Français vivant à Los Angeles avec sa femme et ses enfants, Thierry Guetta, filmeur compulsif, a suivi avec sa caméra, de 2001 à 2008, les plus grands graffiteurs du monde. Parmi eux Banksy, un célèbre artiste conceptuel britannique dont on n'a jamais vu le vrai visage. Encouragé par ce dernier, Guetta se met lui aussi à créer des graffiti, sous le pseudonyme de Mr. Brainwash. Et se prenant au jeu, il organise une exposition de ses oeuvres à Los Angeles, inspirée largement d'une extravagante manifestation montée quelques années plus tôt par Banksy. Lequel documente à son tour les exploits et les déboires de son ami.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Débutant par une incursion fascinante dans l'univers clandestin et parfois dangereux des artistes de rue, ce documentaire atypique emprunte ensuite des détours étonnants, à la limite du canular, pour formuler une critique cinglante du milieu des collectionneurs d'art. De fait, les agissements du soi-disant artiste Thierry Guetta, sorte de Ron Jeremy du graffiti avec un accent anglais rigolo, apparaissent par moments tellement incroyables qu'on se demande si le roué Banksi, qui n'en est pas à une mystification près, ne se paie pas carrément notre tête. La forme négligée et brute de son film est en adéquation avec le propos.

Texte : Louis-Paul Rioux

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